jeudi 31 janvier 2008

YouBama casse la Barack

Le jeu de mots est facile, mais il s’agit là de présenter une initiative originale, en pleines primaires des élections américaines.

Le site YouBama propose une succession de vidéos de supports au candidat (à la candidature) démocrate Barack Obama. Célébrités ou anonymes, tous ceux qui souhaitent apporter leur soutien peuvent y laisser leur vidéo.

Pourquoi voter Obama ?

YouBama est l’œuvre de deux étudiants de l’université de Stanford. Ce site se veut avant tout citoyen, selon ses deux auteurs. Il n’a évidemment rien d’officiel, il s’agit avant tout d’une démarche partisane. Il reprend les engagements vidéos de partisans du sénateur de l’Illinois. Le but est de confronter les arguments des uns et des autres, mais si au final tout le monde vote dans le même sens.

Dans les faits c’est un peu un mélange de YouTube (pour les vidéos) et de Digg (pour le système de vote). Les vidéos les plus populaires se retrouvent ainsi mises en avant. À l’heure actuelle c’est celle de George Clooney, vantant les mérites du candidat Obama dans un show TV, qui arrive en tête des suffrages. Obama ? What else ?

Reste toutefois à savoir combien de temps YouTube va accepter ce détournement de nom et de... logo !

Source http://www.infos-du-net.com/actualite/12775-youbama-barack-obama.html

Le monde des start-ups du web en Allemagne

J'ai trouvé un article fort intéressant sur les start-ups allemandes innovantes du web dans Wirtschafte Woche mais comme c'est en allemand, je me suis dit qu'une traduction/adaptation sur ce blog, cela pouvait faire un bon article récapitulatif du web allemand.

Un peu d'histoire pour commencer : rappelons donc que les allemands ont toujours été en avance sur nous (et globalement en Europe) par rapport à leur usage de l'Internet. Le taux de pénétration de l'informatique et de l'internet a longtemps été sans comparaison possible avec la France. Cependant, avec l'arrivée de la vague Web 2.0, la France a doublé largement l'Allemagne sur l'usage et la pénatration des nouvelles tendances, en considérant cependant que Ebay et Wikipedia sont plus du web 1.0 que du web 2.0 (ces deux applications sont extrèmement utilisées en allemagne, au point d'etre dévenues des reflexes dans la société).

Si la France a su rattraper son retard, c'est pour plusieurs raisons :

  • On avait du retard. Oui, cela est une raison : le fait d'être en retard a eu comme conséquence que des gens ont découvert le web directement avec l'arrivée du web 2.0, et donc l'acceptation des nouveaux usages s'est faite plus simplement. Les allemands étaient eux habitués au web 1.0 et donc ont eu du mal à se mettre au collaboratif, au social, à l'intéractif etc...
  • L'ADSL et les offres triple-play se sont répandues plus largement : ce point est lié au précédent. Beaucoup de français ont commencé l'internet avec de l'ADSL alors que les allemands gardaient leur connexion RTC... Et les FAI français ont aussi beaucoup plus poussé l'ADSL qu'en Allemagne.
  • Le phénomène des blogs a explosé en France, alors qu'il est resté discret en Allemagne. Sans m'étendre sur ce sujet là qui pourrait mériter plein de billets dédiés, c'est clair que les blogs ont margement aidé à l'explosion du web 2.0 en France, contrairement à l'Allemagne.
  • Nous avons eu la chance d'avoir dès le début une tête de file fortement dynamique qui a su montrer l'exemple aux autres, qui a su donner l'envie à des jeunes entrepreneurs de s'y plonger. Les échanges ont été réguliers, la stimulation permanente, et il faut le dire, des personnes comme Loic Le Meur ont bien aidé à tout cela, tant par son blog que par ses conférences.

L'Allemagne a donc très vite été cataloguée au début comme une nation peu dynamique au niveau web 2.0, et même pire, comme un pays plus prompt à copier les concepts venant d'amerique ou d'ailleurs plutôt que d'en inventer de nouveaux. On ne compte plus les clones de twitter, les youtube-like etc... L'article paru dans Techcrunch US en Mai 2007 était une bonne illustration de cette "innovation copier/coller".

Il semble que les allemands ont enfin réussi à dépasser ce stade et on voit de plus en plus de start-ups innovantes nous arriver en provenance de l'autre côté du Rhin. Ce qui est intéressant aussi, c'est qu'on voit de plus en plus de conférences, de regroupements qui s'organisent en allemagne, et ce sont bien là des signes d'une émulation existante.

Voici donc une sélection de 25 applications / sites web / services web allemands intéressants (en gras ce sont mes préférées).

  • Amiando : système de gestion d'invitations à des évènements, des soirées, des conférences etc.
  • Aka-aki : réseau social mobile géolocalisé qui donne des informations sur les membres qui sont aux alentours.
  • Bab.la : plateforme communautaire d'apprentissage de langues, "dictionnaire communautaire" aussi.
  • Betterplace : plateforme communautaires pour actions humanitaires ou caritatives. Les gens qui ont des projets rencontrent des personnes qui veulent s'investir.
  • Cellity : applications pour réduire le prix des consommations du mobile (roaming, conf call etc...)
  • Dealjäger : concept génial : système communautaire de recherche de meilleurs prix pour un produit. Un utilisateur donne un objet, les autres cherchent. Celui qui trouve le moins cher gagne des points.
  • Edelight : plateforme d'échanges de bonnes adresses pour des cadeaux avec système d'affiliation.
  • Humangrid : une communauté d'utilisateurs est payée pour améliorer un produit, donner du feedback (et non plus gratuitement comme cela peut l'être sur des produits open-source).
  • Luupo : Système de vente avec enchères inversées : plus le nombre de personne achètent, moins c'est cher.
  • Mediapeers : vente de videos à la demande avec un système de rémunération par clic pour les fournisseurs de contenu.
  • Mindmeister : Mind Mapping Collaboratif : concept simplissime mais génialissime de mind mapping à plusieurs.
  • My-Hammer : système d'enchères inversées pour des travaux d'artisans. Ceux qui veulent un artisan proposent un projet et ces derniers enchéirssent au plus bas pour gagner le "marché".
  • My-muesli : plus du domaine de l'e-commerce que de la startup propose simplement mais efficacement de se créer son propre muesli personnalisé.
  • Plazes : site communautaire de partage et de découverte d'activités à faire à plusieurs (qui fait quoi ?)
  • Proximic : "générateur d'information contextuelle" que ce soit pour la navigation (recommandatios de sites) ou lors de l'écriture (liens et publicités pour bloggers).
  • Qitera : outil de structuration sémantique des données : aide à structurer toute la masse d'informations disponible via le web (e-mails, sites, documents, wikis etc...)
  • Sellaband : portail musical de vente direct entre artistes et leur fans.
  • Soundcloud : outil communautaire à la youtube mais pour de la musique. On peu écouter, commenter les chansons (aux endroits précis du morceau par exemple), partager etc... Plateforme géniale !
  • Syncing : synchronisation via le web des mails et des agendas (Outlook notamment)
  • Telebid : système original d'encheres en ligne. Les encheres font augmenter le prix et augmentent la durée de vente.
  • Trade a game : boutique de e-commerce spécialisés dans les jeux video.
  • Trupoli : système communautaire d'évaluation des hommes et femmes politiques.
  • Viif : portail communautaire de partages de videos mobiles (un youtube-like pour videos pour mobiles)
  • Weblin : permet de naviguer sur les sites web avec un avatar et donc la rencontre de personnes qui sont en train de vister le même site web, cela "socialise la navigation web".
  • Wunderloop : société spécialisé dans le "ciblage comportemental" des utilisateurs / visiteurs de sites web.

Bien évidemment il ne s'agit pas là d'une liste exhaustive, mais elle a le merite de donner un coup de projecteur sur de nouveaux services. L'avantage aussi en regardant de l'autre côté du rhin pour des nouveautés, c'est que si pour nous ce sont des découvertes, les services ont déjà fait leur preuve pour d'autres, ce qui en augmente l'intérêt. La plupart sont déjà disponibles en anglais (ou français pour quelques rares).

Tout cela me donne envie d'aller voir mon ami Jochen Krisch de Excitingcommerce pour qu'il me parle des dernières initiatives intéressantes au niveau e-commerce.

Bonne découverte !


Source http://www.cedricgiorgi.com/archive/2008/01/21/le-monde-des-start-ups-du-web-en-allemagne.html

dimanche 27 janvier 2008

Comment mesurer le succès de vos services web ?

Source http://www.webdeux.info/comment-mesurer-le-succes-de-vos-services-web


Vous créez et exploitez des services en ligne et c’est très bien. Mais à la question “Comment se porte votre affaire ?”, la réponse est généralement “Tout va bien, de nombreux internautes se sont inscrits au service”. Ce qui signifie en réalité que vous n’en avez en fait aucune idée. Laissez-moi vous expliquer.

Le principal avantage du business en ligne est que TOUT est quantifiable. Et de mon point de vue, les services web en sont l’apogée car ils sont éminemment quantifiables. Mais que mesurer, par où commencer et pourquoi s’en soucier après tout ? Je vais vous expliquer comment aborder ces questions afin que vous puissiez jauger le succès de vos services web (ou tout du moins en avoir une idée plus précise).

Pourquoi analyser ?

La société de consultants des frères Eisenberg (Future Now Inc.) a accompli un grand travail en préchant le message de ne pas se concentrer sur la visibilité et le trafic mais plutôt sur les transformations.

Afin d’expliquer en quoi la transformation est essentielle pour votre entreprise, ils ont inventé le concept du “seau qui fuit”. Pour faire simple, si vous avez un seau qui fuit, pour qu’il reste plein, vous avez le choix entre ajouter continuellement de l’eau ou boucher le trou. Imaginez que le seau représente votre site web et l’eau représente vos ventes, vous pouvez continuer à amener continuellement du trafic afin de maintenir votre niveau de vente actuel ou vous pouvez améliorer votre site afin d’augmenter le panier moyen avec votre audience actuelle. Vouloir à tout prix accroître son trafic n’est pas une solution durable pour la plupart des petites sociétés (tout particulièrement les start-up avec 0 budget marketing). C’est pourquoi il faut savoir “boucher le trou”.

Le cheminement de vos visiteurs

Pour commencer à mesurer le trafic de votre site, vous pouvez débuter votre analyse avec une schéma en pyramide :

vit-simple

C’est le schéma classique d’un service commercial en ligne. Chaque étape vous fait inévitablement perdre un certain nombre d’internautes. Si 10% de vos visiteurs testent votre produit, puis 10% de ces testeurs transforment cet essai en achat, vous avez alors perdu 90% de votre audience à chaque étape. C’est plutôt un bon taux de transformation et votre pyramide des ventes ressemblera à ça :

vit-conv

Pour résumer, si vous perdez des internautes à chaque étape (et, répétons-le, il est tout à fait courant de perdre ainsi 90% de clients sur le web), alors c’est que votre seau fuit.

Vers un cheminement plus détaillé

Si votre seau fuit, vous devez impérativement identifier les raisons entraînant les fuites et les colmater au plus vite. Il vous faut détailler plus amplement votre schéma de conversion. En voici un exemple, très utile pour des sites comme FreshBooks, Basecamp ou DropSend:

vit-soph
Impressionnant non ? Comment a-t-on établi ce schéma ? Tout simplement en identifiant les étapes par lesquelles vos utilisateurs doivent passer avant de devenir un client. Ce schéma détaillé va vous aider à identifier et améliorer vos points faibles.

Comment mesurer vos progrès ?

Supposons que vous vous engagiez à quantifier et définir chacune des six étapes que j’ai énoncés ci-dessus. Voici un exemple concret (en l’occurrence FreshBooks) :

Eléments analysés< ?xml:namespace prefix = o />

Description

Outil d’analyse

Unités de mesure

Visiteurs

Visiteurs uniques effectuant leur première visite

Outil de mesure et d’analyse d’audience

Visiteur unique

Période d’essai

Internautes s’inscrivant pour tester le service/produit

Outil de mesure et d’analyse d’audience ET Base de données interne à la société

Nombre d’inscriptions

Connexion

Internautes s’étant inscrits ET s’étant connectés à leur compte

Base de données interne à la société

Incrémenter un champ détectant si les internautes se sont connectés après inscription.

Usagers actifs

Internautes s’étant connectés récemment (moins de 2 mois) ET s’étant connecté au moins 10 fois

Base de données interne à la société

“nombre de connexion” paramétrée selon vos besoins (ex : supérieur à 10)

Clients payants

Internautes ayant payé

Base de données interne à la société

Nombre de “comptes” payants

Clients fidèles

Internautes ayant souscrit au service plus de 12 mois d’affilée

Base de données interne à la société

Nombres d’utilisateurs payants depuis plus de 12 mois

Pour effectuer l’analyse de l’étape “visiteurs”, procurez-vous un bon outil de mesure et d’analyse d’audience en JavaScript. Google Analytics est un bon exemple. Personnellement, je vous recommande IndexTools. Si vous avez les moyens d’acquérir une solution d’entreprise, vous pouvez vous orienter vers Xiti. Mais surtout évitez les solutions de type serveur log tels que AWStats, Webalizer ou Urchin 5 parce qu’ils ne sont pas assez précis pour vos besoins.

Vous l’avez peut-être remarqué mais nous n’utilisons les outils de mesure et d’analyse que pour les deux premiers éléments de notre schéma : les visiteurs et les périodes d’essai. Il faut une base de données précise, surtout lorsque vos chiffres sont faibles (lorsque vous commencez) et les imprécisions peuvent réellement apporter de mauvaises conclusions. Le suivi crée la programmation et la base de données qui va avec, mais étant donné que vous allez a priori stocker très peu d’information cela ne ’stressera’ pas votre base de données et vous pourrez toujours couper le suivi à tout moment. Un autre point très important, le nombre de d’inscriptions ne vous donnent pas le nombre d’utilisateurs actifs. La valeur à prendre en comptes pour avoir le nombre d’utilisateurs actifs est le nombre de fois où un utilisateur se connecte.

Les statistiques ne vous donnent pas les mises à jour pour les utilisateurs payants pour un service donné, car la transaction n’est pas immédiate, cela peut prendre des semaines ou des mois, et parfois un utilisateur peut mettre à jour plusieurs fois. Pour toutes ces raisons, il est fortement recommandé de suivre ces différentes données par vous même dans votre base de données. Vous voudrez sûrement vous créer des rapports personnalisés. Allouer des ressources au développement de projets comme celui-ci fait partie de ce qu’on appelle le ‘shadow application development‘ et fait partie des activités importantes pour une application dont l’utilisation croît. Payer de votre temps et de votre personne s’avérera gagnant.

Comment décider de la priorité des modifications ?

Admettons que vous suiviez mes conseils sur les étapes de la transformation. Et admettons que votre seau fuit. La question est : que modifier en priorité ? Je vous réponds : commencez au commencement.

La plupart du temps, le problème débute avec le passage entre le mode “visiteur simple” et le mode “visiteur inscrit”. Si 5 à 10% de vos nouveaux visiteurs ne passent pas à l’étape “testez le service”, vous avez du pain sur la planche. Il se peut que votre schéma ait besoin d’une étape supplémentaire. Par exemple, vous ne parvenez pas à déterminer à quel moment du processus vous perdez des clients avant qu’ils ne s’inscrivent à la période d’essai, ajoutez alors une étape appelée “page d’inscription”. Si 30% de vos internautes visitent cette page mais que seuls 2% s’inscrivent réellement, il en ressortira que cette page a besoin d’être revue.

Voici un tableau avec quelques conseils sur où porter vos priorités d’amélioration à chaque étape du cheminement de vos visiteurs :

Eléments analysés

Description

Visiteurs

Programme d’affiliation, budget marketing (type AdWords), échangez des liens avec des amis…

Période d’essai

Analysez minutieusement vos statistiques. Repérez à quelle page vos internautes vous quittent et essayez de comprendre pourquoi afin de l’améliorer. Tachez de voir si vos internautes arrivent facilement sur la page d’inscription. Dans le cas contraire, vérifiez que cette page est bien indiquée et bien placée.

Connexion

Réfléchissez avant de développer vos formulaires : faites les simples et courts. Faites en sorte que les messages d’erreur de saisie soient clairs et compréhensibles. C’est un point facile à mettre en oeuvre qui va positiver votre image de marque.

Usagers actifs

Faites en sorte que vos applications soient simples à utiliser et utiles. Faites des tests utilisateurs. Faites tester par des novices (votre grand-mère s’il le faut)

Clients payants

Les usagers actifs deviennent des clients payants si votre service combine une réelle valeur ajoutée à un prix adéquat. Etablir le juste prix est difficile. N’ayez pas peur de changer vos tarifs à mesure que vous avez plus d’informations sur l’utilisation de vos services par vos clients.

Clients fidèles

Procurer un service de qualité avec une maintenance irréprochable EN PERMANENCE

De combien de données ai-je besoin pour avoir un échantillon fiable ?

Dans l’absolu, plus de 100. Comme ça vous disposerez d’un échantillon qui couvrira certainement toutes les étapes de votre schéma. Mais pensez à ce que représente le chiffre, si vous souhaitez avoir 100 utilisateurs qui payent, et que vous convertissez 1% des visites en utilisateurs qui payent pour le service, alors vous devez générez 1000 trials et amener 10000 visiteurs sur votre site. Cela peut prendre des mois alors que vous débutez… C’est pourquoi il est important de se concentrer sur le haut de la pyramide (visiteurs -> utilisateurs en période d’essai, utilisateurs en période d’essai -> utilisateurs enregistrés et payant). Ces indicateurs sont les plus rapides à suivre, et si vous les suivez correctement, vous aurez plus de personnes dans votre application qui vous donnera plus de feedback, ce qui vous permettra de suivre de nouveaux indicateurs. C’est un cercle vertueux!

Conclusion

Vous ne pouvez jamais rien améliorer si vous ne mesurez jamais vos données. Alors, commencez à analyser dès a présent ! Vous apprécierez de voir les résultats qui vous indiqueront rapidement quoi faire et vite.

Disclaimer : Cet article est une adaptation/traduction de ThinkVitamin par Nathalie Rosenberg pour votre plus grand plaisi

jeudi 24 janvier 2008

Detente Maillots

Post comment to Vittoria »
Vittoria 1Vittoria 2Vittoria 3Vittoria 4Vittoria 5Vittoria 6Vittoria 7Vittoria 8Vittoria 9Vittoria 10Vittoria 11Vittoria 12Vittoria 13Vittoria 14Vittoria 15Vittoria 16Vittoria 17Vittoria 18Vittoria 19Vittoria 20

CSSTidy - Parseur et Optimiseur CSS Opensource

CSSTidy vous permet d’optimiser votre code CSS. Cela permet d’accélérer le chargement de vos pages et d’économiser la bande passante de votre serveur ! Cette optimisation de votre code est donc bénéfique aussi bien pour vos serveurs que pour vos visiteurs.

CSSTidy est un analyseur syntaxique et un « optimiseur » de code CSS open source. Il est disponible comme application autonome (sous Windows, Linux et OSX). Il peut être contrôlé par ligne de commande et comme un script PHP (tous les deux ont pratiquement la même fonctionnalité). Il est également disponible comme application en ligne.

Source http://mtnconcept.com/free-tools/code/csstidy-parseur-et-optimiseur-css-opensource-332

A découvrir : Drop.io, Website Validator et TelePro

  • Drop.io : voilà un très bon exemple de service simple et efficace. Drop.io permet en effet de partager très facilement des fichiers (jusqu’à 100 mégas) de n’importe quel type (documents, photos, vidéos, etc). Il suffit simplement de les télécharger sur leur serveur et de préciser une date d’expiration (et éventuellement un mot de passe pour en limiter l’accès). Une adresse temporaire est ensuite générée. Il suffira de l’échanger avec un ou plusieurs destinataires pour qu’ils puissent accéder à ces fichiers. A noter, senduit propose des fonctionnalités similaires.
  • Website Validator : cet outil en ligne vient combler un besoin qui n’est plus pris en charge ni par le Validateur Multipages (un site formidable mais qui ne fonctionne malheureusement plus), ni par ma dernière trouvaille. Website Validator permet en effet de valider toutes les pages d’un site Internet. Il faut cependant disposer d’une carte du site au format XML (une sitemap donc). Les résultats sont moins complets et moins bien présentés qu’avec le Validateur Multipages, mais au moins il est possible de détecter les pages qui ne respecteraient pas le standard HTML.
  • TelePro : la société TelePro a eu l’excellente idée de mettre à disposition gratuitement certains documents légaux employés sur des sites Internet : conditions d’utilisation, clause de confidentialité et droits liés à la propriété. Leur rédaction nécessite souvent l’intervention d’un avocat spécialisé, mais ces modèles pourront sûrement être utilisé temporairement. Le site Website-law propose également ce genre de documents (avec explications à l’appui), mais est plus contraignant vis-à-vis de leurs conditions d’utilisation. Enfin, il est toujours possible de parcourir ceux disponibles chez DocStoc.
Source http://www.simpleentrepreneur.com/2008/01/21/a-decouvrir-dropio-website-validator-et-telepro/

Quel éditeur de photos en ligne choisir ?


Depuis quelques mois, de nouveaux services riches ont vu le jour sur Internet. Grâce à l’évolution des technologies (notamment celle des RIA et plus du simple Java comme avant), certains sites repoussent les limites de ce qui était habituellement faisable en ligne en proposant presque autant de fonctionnalités que de vraies applications classiques. Le domaine de l’édition de photos en ligne est clairement est de ceux à qui ces technologies ont le plus profité. Il existe de nombreux services en ligne de retouche photo et cela depuis longtemps déjà. Mais on trouve dorénavant certains services en ligne qui peuvent remplacer le bon vieux Photoshop ou Fireworks. Non seulement la quantité de fonctionnalités disponibles est impressionnante mais, en plus, ces services essayent de les rendre les plus simples à utiliser et peuvent ainsi proposer la retouche photo au plus grand nombre ! Parmi la multitude de services existants, je vous propose aujourd’hui une sélection des services en ligne les plus complets.

Picnik.com : l’un des plus connus mais rapidement payant

Picnik.com est un des premiers services riches d’édition de photos en ligne arrivé sur le marché. Longtemps gratuit, le service est maintenant proposé en deux versions : l’une basique et gratuite, l’autre payante et incluant tout un tas de fonctionnalités supplémentaires. Réalisé en Flex, le service est particulièrement bien pensé et intuitif. Il permet d’uploader ses propres photos ou d’en récupérer directement depuis un compte Flickr, Picasa ou Facebook. Depuis peu il a été complètement été intégré dans Flickr comme éditeur de photo en standard. Au niveau des fonctionnalités, on retrouve tous les classiques (agrandissement, rotation, recadrage, etc.) utilisable très simplement. La version payante propose de nombrexu filtres et effets qui peuvent vite se révéler indispensable pour toute personne qui commence à utiliser le service d’une manière un peu poussée. En revanche, le service ne propose pas de mode “calques” pour l’édition ce qui pourra manquer à certains habitués de Photoshop.

FlauntR.com : une multitude de services

FlauntR.com est un service web assez récent d’édition de photos en ligne. Sorti il y a quelques moi seulement, il a l’originalité de se composer d’une multitude de sous services regroupés dans une même interface. Tous entièrement gratuit, ces services permettent entre autres d’éditer vos photos, de leur appliquer des filtres (notamment des effets de peinture assez bluffants), des cadres, de découper à la bonne dimension un avatar pour un des nombreux services existants, de découper une image au format de l’écran d’un des téléphones proposés, d’y insérer du texte stylisé, etc. Chacun de ces sous-services est représenté sous la forme d’un onglet d’édition et l’ensemble de vos photos sont accessibles par le menu du bas. Il en résulte une bonne ergonomie là encore réalisée en Flex. D’autres sous-services sont encore en développement mais Flauntr dispose déjà de nombreuses interfaces avec les principaux services d’hébergement de photos en ligne.


Splashup.com : le plus proche de Photoshop

Splashup.com est le nouveau nom d’anciennement Fauxto qui a été lancé dans le but de proposer une vesrion online de Photoshop puisqu’Adobe ne semble toujours pas proposer d’équivalent jusqu’à présent. La ressemblance est donc frappante dès le premier lancement, et les habitués du logiciel d’Adobe ne se sentiront pas du tout dépaysés. Certes en terme de fonctionnalités, on reste encore assez loin de ce que la solution locale peut proposer. Néanmoins on retrouve tous les classiques dont la possibilité de travailler avec des calques et avec plusieurs fichiers ouverts en même temps. Développé également en Flex, ce service est sans doute le plus facile à prendre en main pour ceux qui ont l’habitude de faire de la retouche photo en ligne. Peut-être un peu moins compatible pour l’instant que les autres services, cet outil donne néanmoins une bonne idée de ce que permet les technologies web d’aujourd’hui pour adapter des applications locales en version en ligne.

FotoFlexer.com : de l’intelligence artificielle dans vos retouches

FotoFlexer.com a la modestie de se définir comme l’outil le plus puissant en retouche d’images. Et je dois dire que dans la réalité, nous n’en somme pas loin. Le nombre de fonctionnalités et de filtres disponibles gratuitement est largement supérieur aux autres. Toutes ces fonctionnalités sont accessibles via une interface en onglets. Certains outils plus évolués permettent d’utiliser des algorithmes d’aide à l’édition comme le détourage ou un outil morphing. L’interface est claire et simple. FotoFlexer a beaucoup utilisé Facebook pour se faire connaître initialement en proposant une application pour éditer les photos directement dans Facebook. Depuis, le service a ouvert une API permettant à n’importe qui de proposer le service d’édition de photos sur son site/blog.

En conclusion : lequel choisir ?

Comme bien souvent, le choix d’un service va dépendre du besoin que vous avez au départ. Les habitués de Photoshop se tourneront vers Splashup pour retrouver l’ergonomie du logiciel, les utilisateurs de Flickr utiliseront désormais naturellement Picnik, etc. Même si tous ces services sont de magnifique exemples de ce qui peut se faire en termes de Rich Internet Applications, chacune comporte encore des défauts de jeunesse ou des manques de fonctionnalités évidentes. En revanche, j’ai été assez surpris de ne pas identifier un seul service en ligne français. Pourtant assez innovantes en général, il semblerait que les start-up françaises ne soient pas essayées encore à ce domaine de plus en plus concurrentiel.

Source http://blog.aysoon.com/quel-editeur-de-photos-en-ligne-choisir

Super Screenshot - Screenshot en ligne de site web

Comme son nom l'indique, Super Screenshot va vous permettre de réaliser des screens de sites web, le tout en ligne.

La seule chose que vous avez à faire, est de renseigner l'URL du site que vous souhaitez capturer.

Une fois l'attente passée, vous obtiendrez quelque chose comme ça

A partir de ce moment là, vous pourrez modifier les paramètres que vous souhaitez et raffraichir le screen.

Dans le même genre, on connaissait déjà Thumbalizr .

Source http://blog.accessoweb.info/Super-Screenshot-Screenshot-en-ligne-de-site-web_a2743.html

MoobTv: Faîtes moober la télé !

Et il y en a pour tous les goûts et toutes les ambitions; L’offre diffère par le niveau de professionnalisme souhaité, par les outils proposés; par la capacité d’hébergement ou bien par le support de diffusion. Certains proposent aussi du Live sur le web ou sur mobile. Ce dernier aspect constituant sans doute un nouvel atout clef. Tous ces services se doivent à moyen ou long terme d’offrir une diffusion sur mobiles.Le nombre de services qui proposent aux utilisateurs de créer leur propre chaine Tv ne cesse de grandir.

MoobTv joue à fond la carte mobile. Créer une chaîne Tv avec vos propres clips ou ceux que vous aimez sur le web (en s’assurant des droits d’auteur, bien évidemment…) en quelques minutes; vous pouvez la personnaliser, l’habiller et la diffuser sur la plateforme MoobTv ou mieux encore sur un téléphone portable. Quand vous vous inscrivez vous recevez un SMS qui vous indiquera une adresse Wap; votre chaîne Tv est en ligne.

Mais la ou diffère sensiblement MoobTv c’est par sa volonté d’intégrer immédiatement de la publicité au début de vos clips pour partager avec vous des revenus. C’est le modèle économique et il vous faut l’appliquer des le début.Vous pouvez choisir vos encarts; sinon MoobTv le fera pour vous. La rémunération? Plus de 500 visites de sa TV : 5 euros; Puis, 2 euros supplémentaires par tranche de 200 visites. Bref pas de quoi gagner sa vie immédiatement mais une petite motivation quand même en cas de succès viral. En résumé, MoobTv vous propose de moober:

moober : nouveau verbe d’action consistant à créer sa propre chaîne de télévision à partir de ses vidéos persos, à y insérer un écran publicitaire pour une marque, à la diffuser sur le web sur ses blogs, sur mobile, à fidéliser son public et faire le plus d’audience possible pour gagner le maximum d’euro possible.

MoobTv organise également un concours depuis le 20 Janvier:

MoobTV.com propose aux internautes entre le 20 janvier et le 29 février prochains de créer et de réaliser un film publicitaire pour la montre SWATCH « spéciale Saint Valentin 2008 ». Le 29 Février, SWATCH désignera le meilleur film et son réalisateur remportera 1000 €.


Source http://fr.techcrunch.com/2008/01/22/moobtv-faites-moober-la-tele/


dimanche 20 janvier 2008

IconsPedia - des icones de qualités gratuits

IconsPedia est un site ou vous trouverez tous un tas d'icones en tout genre classés par catgories.

Vous pourrez également uploader, si vous le souhaitez, des icones de votre conception sur le site.


Source http://blog.accessoweb.info/IconsPedia-des-icones-de-qualites-gratuits_a2737.html

samedi 19 janvier 2008

Detente du mois de janvier



Les vidéos évoluent : leur contenu devient cliquable

La vidéo sur Internet est devenue un marché, une référence, une mode, un enjeu, un buzz. Bref la vidéo sur Internet est aujourd’hui l’un des concepts qui a le plus progressé ces derniers mois et qui va sans aucun doute exploser en 2007. On peut penser à tous les fournisseurs de vidéos en ligne comme YouTube ou DailyMotion, à l’excellent eMob qui fournit des tutoriaux et des cours sous forme de screencast (i.e. des vidéos faites de l’écran de votre ordinateur), à Joost qui va révolutionner la TV en ligne via un système de P2P ou encore à VpodTV qui vient de lancer un service pour créer sa propre chaîne de télévision à la demande et visible en plein écran directement depuis son navigateur Internet…

Mais l’une des autres grandes et belles évolutions à venir est je pense la possibilité de cliquer et d’interagir directement avec les éléments d’une vidéo. Je prendrais pour exemple à ce concept la technologie mise au point par la société idside . Ils ont récemment mis au point, en partenariat avec plusieurs spécialistes du traitement des données vidéos dont le laboratoire de l’Université de Grenoble ainsi que la société de post production TVS, une technologie de vidéos cliquables dénommées PubInteractive©. Ce concept permet de rendre cliquable l’ensemble des éléments présents dans une séquence vidéo. D’un simple clic, l’internaute peut obtenir en temps réel des informations sur les personnes, leurs vêtements, leurs accessoires et tout autre type d’élément présent à l’écran.

« Avec notre offre PubInteractive© nous engageons très clairement une nouvelle ère de communication vidéo Online. Nous proposons en effet aux annonceurs et aux éditeurs de contenu un nouveau type de média interactif qui se substitue aux supports de communication vidéo traditionnels. La technologie développée permet de disposer d’un outil marketing révolutionnaire qui permet de réaliser des campagnes non intrusives et extrêmement performantes. Chaque élément actif renvoie à une information enrichie et permet de créer des liens directs vers les pages des annonceurs, que ce soit des catalogues produits ou des pages de contenu dédiées », explique Romain Cayla, Co-fondateur d’IDSide.
Pour mettre en œuvre cette technologie, IDSide a signé un partenariat avec l’Oréal pour l’exclusivité de la couverture du festival de Cannes qui vient de se terminer. Sur le site Internet www.lorealcannes.com accessible à partir du portail officiel du Festival de Cannes, les internautes peuvent des vidéos sur les ambassadrices L’Oréal Paris réalisées pendant les temps forts du Festival : montées des marches, interviews, remises des trophées …

L’ensemble des vidéos présentées sur le site sont traitées avec la technologie PubInteractive© permettant aux internautes de découvrir les choix de beauté L’Oréal Paris des stars ambassadrices ainsi que de nombreuses autres informations pratiques.
Pour voir un exemple de vidéos cliquables, rendez-vous sur www.lorealcannes.com dans la partie « Live à Cannes » -> « Vidéos du jour » et lancez une des vidéos.

Derrière cet exemple, on comprend vite le potentiel qui existe avec cette technologie et le nombre d’applications qui peut en découler est énorme ! Que cela soit de la publicité discrète et ciblée, de l’interaction poussée avec les vidéos ou même pourquoi pas des sous-titres incrustées sous forme de bulles comme dans les BD… il suffit d’y réfléchir 5min pour avoir des dizaines d’idées d’applications.
Si la vidéo est réellement une des technologies qui va exploser en 2007, ce concept d’une couche interactive qui se rajoute sur la vidéo conçu par IDSide va certainement faire partie des plus grosses sources d’applications dans l’avenir du web.

Source http://blog.aysoon.com/les-videos-evoluent-leur-contenu-devient-cliquable-190

SimpleViewer, Galerie d’images Flash



SimpleViewer permet d’implémenter très facilement une galerie d’images Flash.

Les caractéristiques de SimpleViewer sont les suivantes :

  • Pré chargement des images
  • Navigation intuitive
  • Très léger (17K)
  • Interface personnalisable (couleur des textes, tailles et couleurs de la fenêtre, position du menu de navigation)
  • Compatible avec les plateforme Windows/Macintosh/Linux
  • Support des polices de caractères internationales
  • Redimensionnent dynamique
  • Navigation avec les clavier (touches flechées, touches « Home », « End », « page Up/down »)
  • Navigation avec la roulette de la souris
  • Clic droit pour visualisation de l’image dans une nouvelle fenêtre
  • Détection de Flash 7. Message de téléchargement de Flash si ce dernier n’est pas détecté
Source http://mtnconcept.com/free-tools/composants/galerie-images/simpleviewer-galerie-dimages-flash-322

http://blog.aysoon.com/asterpix-vous-permet-de-creer-des-videos-interactives

Asterpix est une starup US proposant à ses utilisateurs de réaliser des vidéos interactives : c’est-à-dire des vidéos avec des zones cliquables donnant plus d’informations à la personne qui regarde la vidéo lorsqu’elle clique sur une de ces zones. Fondée en octobre 2006, la société a déjà levée 4 millions de dollars est a été lancée officiellement il y a moins de 2 mois.

Je vous avez déjà parlé d’idside qui a développé sa propre technologie permettant de rendre dynamiquement n’importe qu’elle zone d’une vidéo cliquable. A la différence d’idside, Asterpix donne la possibilité à n’importe qui de réaliser une vidéo interactive et rend ainsi ce concept à la portée de tous. La différence majeure entre ces deux société reste le côté professionnel d’idside qui travaille chaque vidéo dans le détail et permet ainsi un rendu parfait. Asterpix, avec son objectif de vulgariser une telle technologie, ne peut proposer un tel résultat.

Néanmoins, le rendu final est assez sympa en fonction des vidéos et peut trouver facilement un intérêt pour l’utilisateur. Pour réaliser une vidéo interactive, il suffit de choisir une vidéo existante dans leur base, sur Youtube ou tout autre hébergeur de vidéos (ça c’est une belle fonctionnalité ! fini l’upload), de passer en mode édition et de dessiner des cadres autour des éléments que l’on veut rendre cliquable. Une fois les informations et liens précisés, ce cadre suivra l’objet sur lequel il a été tracé avec plus ou moins de succès. Une fois encore, le résultat dépend beaucoup de la vidéo, de l’objet que l’on veut tracer et du fond de la vidéo.

L’autre avantage d’une telle technologie est la possibilité de naviguer dans les vidéos en sautant d’un élément cliquble à un autre grâce au menu vertical que l’on peut afficher sur chaque vidéo et qui présente une sorte de timeline de la vidéo.

Je suis plutôt enthousiaste devant ce concept comme je l’avais déjà été avec idside il y a quelques mois. La mise en oeuvre du concept est plutôt réussi avec un mode d’édition des vidéos intuitif et relativement rapide. Le site web en lui même ressemble étonnamment à Youtube dans la disposition de ses éléments mais a ainsi le mérite d’être assez clair. Le principal reproche que je ferais à Asterpix est la qualité trop souvent déplorable des vidéos. Elles sont mal encodées ou trop compressées et pixelisent beaucoup. L’expérience utilisateur en pâtit pas mal surtout pour une vidéo avec laquelle on est censé interagir. Espérons que cela s’améliorera avec le temps.



Source http://blog.aysoon.com/asterpix-vous-permet-de-creer-des-videos-interactives

Asus Eee Pc with touch screen

jeudi 17 janvier 2008

Roomlinker est un site web2.0 dédiée à la recherche de colocation.

Roomlinker est un site web2.0 dédiée à la recherche de colocation.

Entièrement gratuit, il intègre les derniers développements web en matière de streaming vidéo : upload et diffusion vidéo, saisie instantanée par webcam et videoconference afin d’organiser ses rencontres sur Internet.

Calculez le coût d’une transaction PayPal avec ppcalc.com

Vous connaissez sans doute PayPal, cet outil qui permet d’effectuer facilement et rapidement une transaction financière entre deux individus ou sociétés sur Internet. Un ami doit vous transmettre des fonds ou encore, vous devez payer la location d’une villa rapidement, PayPal répondra certainement à vos attentes. Cependant, ce service n’est pas gratuit, des frais vous seront imposés sur chacune de vos transactions.

Ainsi, si vous faites une transaction et que les deux parties utilisent la même unité monétaire, le taux de commission de PayPal sera plus bas. Par contre, lorsque vous faites une transaction qui implique des conversions monétaires le taux peut dans certains cas doubler. Ces calculs peuvent rapidement devenir assez complexes. Heureusement, il y a un service gratuit qui se nomme PayPal Fee Calculator (ppcalc.com) qui permet de connaître en quelques secondes les coûts exacts d’une transaction sur PayPal.

PPcalc.com supporte actuellement 16 unités monétaires, dont l’Euro, les dollars américains, canadiens et australiens. Ce calculateur gratuit vous donnera aussi le détail d’une transaction. PayPal Fee Calculator, un super outil indispensable pour tous ceux qui utilisent PayPal.

Detente

Autumn
Post comment to Autumn »
Autumn 1Autumn 2Autumn 3Autumn 4Autumn 5Autumn 6Autumn 7Autumn 8Autumn 9Autumn 10Autumn 11Autumn 12

Analyser son blog efficacement avec Google Analytics

Source http://blog-web-marketing.fr/2007/12/06/analyser-son-blog-efficacement-avec-google-analytics/

Vous avez des statistiques sur votre blog mais vous ne savez pas comment les regarder efficacement ? Alors suivez nos conseils et maîtrisez Google Analytics ! Dans ce dossier, nous allons vous montrer comment analyser votre blog grâce à 4 analyses essentielles :
- le trafic
- l’acquisition
- la rétention
- la conversion

plus Afficher le sommaire

Google Analytics

I) L’installation

Si vous avez déjà un compte Google Analytics configuré et prêt, passez directement en partie II. Si vous avez déjà une adresse Gmail ou un compte Google, la procédure est simple : allez sur Google Analytics et connectez-vous avec votre adresse et votre mot de passe. Enfin si vous n’avez pas de compte Google ou de Gmail, créez-vous en un à cette adresse et allez sur Google Analytics.

Dans Google Analytics, ajoutez l’URL de votre blog (Ajouter un profil de site Web), récupérez le code JavaScript et collez-le avant la fin de la balise dans toutes vos pages.

Si vous êtes sous WordPress, encore plus simple, téléchargez le plugin Google Analyticator, il vous simplifiera la vie puisqu’il ira insérer le script dans toutes les pages

Une fois vos données vérifiées, patientez jusqu’au lendemain avant que les statistiques ressortent dans l’outil.

D’ailleurs, si vous voulez retrouver l’article demain, abonnez-vous au blog par RSS ou e-mail ;-)

II) L’analyse du trafic

Le trafic

Ces données permettent de faire un état de la présence Web de votre blog sur une période donnée. Elles sont simples et visibles dés que vous arrivez dans votre interface Google Analytics. Un coup d’œil chaque matin et vous pourrez visualiser vos pics de trafic et aussi vos baisses.

A) Les pages vues

pages vues

Les pages vues servent à mesurer la popularité du blog et l’intérêt des visiteurs. En ne regardant que ça vous savez si vous êtes dans une bonne période ou non. C’est un bon indicateur de base pour vous comparer avec d’autres sites et également pour identifier le volume global de votre blog.

B) Les visites / visiteurs

Visiteurs

C’est la 1ère donnée qualitative. En effet, il s’agit de personnes réelles qui viennent sur votre blog. Pour faire simple, un visiteur peut faire plusieurs visites.

Les visiteurs uniques absolus sont la vraie donnée sur le nombre de visiteurs (car ils ne sont pas comptabilisés plusieurs fois) C’est une donnée dont la fiabilité est souvent remise en cause dans un contexte où de plus en plus de gens effacent leurs cookies (5%).

Ok, je comprends les définitions mais mon blog il fait 100 visiteurs par jour, c’est bien ou pas ?

Hum… disons avec notre ami la louche :

- 10 visiteurs par jour : ça doit être le début. Persévérez !

- 100 visiteurs par jour : c’est cool, vous avez un trafic qui commence à être vraiment sympa !

- 1000 visiteurs par jour et beaucoup plus : mais vous êtes un bloggeur influent ! Un « pro du blogging » :-)

Ok vous avez du trafic mais quand viennent vos internautes ?

C) Heures et jours de visites

L’intérêt ici est de déterminer si vos visiteurs surfent la semaine ou le week-end ; au travail (9h-12 et 14h18) ou chez eux (le reste du temps). Pour ce faire regardez simplement votre courbe de visites. Par exemple sur le Blog Web Marketing, nous perdons environ 30% du trafic le week-end, nous en déduisons donc que c’est au travail et la semaine que les gens lisent. D’ailleurs vous, oui vous qui lisez, vous êtes au boulot ? ;-) Si oui prétextez que vous allez apprendre comment utiliser un outil d’analyse d’audience pour étudier le comportement des internautes à partir des données statistiques pour améliorer la performance de votre site. ^^

Oui je vois mes visites mais en jours… Comment faire pour voir heure par heure ?

Cliquez simplement sur : « Toutes les heures » en dessous du nombre de visites ou de pages vues :heures

D) La fidélisation de vos visiteurs

Des visiteurs viennent sur votre blog, OK. Mais sont-ils fidèles ?
Vous pouvez le savoir en regardant la notion de “Nouveaux - Connus” dans la partie visiteurs. Cette donnée vous indique si vos visiteurs sont revenus sur la même période (exemple sur 1 mois). Si vous avez moins de 20% de visteurs qui reviennent, essayez des booster l’inscription à votre flux RSS ou d’inciter les internautes à recevoir vos articles par mail (Zookooda et Feedburner peuvent gérer ça pour vous)

nouveaux vs connus

L’important à retenir sur le trafic :

Connectez-vous 2 minutes par jour et regardez votre trafic grâce au tableau de bord et aux résumés. Ne regardez pas les chiffres, regardez les changements dans les chiffres. Si vous avez plus de temps, passez aux sections suivantes !

Vous avez vu votre trafic sur au moins 1 mois et connaissez maintenant les habitudes de visites de vos lecteurs. Très bien alors découvrez maintenant d’où ils viennent.

III) L’analyse de l’acquisition

Après avoir fait un état du trafic du blog, nous pouvons analyser ces sources d’acquisition. C’est à dire d’où viennent les visiteurs et quels sont les sites ou blogs qui ont amené des visites. Dans Google Analytics retrouvez ces infos dans Source de trafic :
Sources de trafic

A) L’accès direct

L’accès direct regroupe toutes les personnes qui ont :

- tapés directement l’adresse dans leur navigateur.

- ajoutés aux favoris le site, et cliqués sur ce favori.

- suivi un lien dans un e-mail non traqué.

Cette donnée est utile pour connaitre votre notoriété. En effet, plus vous êtes connu et plus les internautes vont taper directement le nom de votre blog, cliquer sur votre flux RSS ou sur votre lien en favoris. Si vous n’êtes pas connu, les internautes vont encore avoir besoin de passer par un moteur de recherche pour vous trouver. Pour nous l’objectif à atteindre, c’est 25% d’accès direct.

sources

B) Les moteurs de recherche

Cette statistique sert à mesurer le nombre de visites provenant des moteurs de recherche. C’est une source de trafic importante pour un blog. En effet, elle vous apporte des visites même si vous ne faîtes pas de nouveaux articles ;-)
D’où l’importance de bien concevoir son blog en l’optimisant pour le référencement. (Si vous n’y connaissez rien, commencez par des titres de pages différents et contenant les mots clés de vos articles, cela suffit déjà à se positionner. Bon bien sûr pas sur “vêtement femme” ! Si vous souhaiter creuser le référencement c’est ici)

1) Mots clés tapés

Afin de venir sur votre blog, les internautes ont tapés des mots dans le moteur de recherche. On les appelle les mots clés. Dans Google Analytics, la liste des mots clés que les internautes tapent pour venir sur le site est disponible dans la section « Mots clés » de la catégorie « Source ». C’est une vraie mine d’or ! Ne regardez pas seulement les premiers (surtout si c’est votre nom de marque > CF partie suivante) mais tous les mots clés (il peut y avoir des dizaines de pages de mots clés !) et contemplez la puissance de la longue traine.

Longue traine blog

En effet, pour le Blog Web Marketing, 80 % des expressions n’ont été tapées qu’une fois. Alors forcément ça fait du volume ;-)

Si vous n’avez pas beaucoup de mots clés, travaillez vos contenus et tout simplement : votre référencement.

2) Référencement ou recherche de marque ?

Ici nous cherchons à savoir si le trafic venant des moteurs est dû au référencement ou à la recherche de marque (ou de nom de blog). Pour cela, allez voir dans mots clés et regardez les 10 premiers mots clés.

Mots clés

Si le nom de votre blog ou ses dérivés apparaissent très souvent, c’est que votre référencement n’est pas optimal (ou que vous êtes très connu ;-) ) et que le trafic imputé au référencement est en fait de l’accès direct (Si les internautes ne confondait pas la barre Google avec celle d’adresses, le trafic irait directement augmenter l’accès direct :-) ).En revanche, si ce sont des recherches particulières sur vos articles avec des mots clés en rapport avec le contenu de vos textes, bingo (!) votre référencement porte ses fruits.

Volume mots clés

3) Volume de recherche

On estime qu’un bon trafic provenant des moteurs est de l’ordre de 30 % à 40 %. Si votre trafic est inférieur à 20% : travaillez vos titres, votre contenu et vos mots clés (pas les keywords, les « tags » !). S’il est supérieur à 50 % c’est que vous devez travailler une stratégie de link baiting ! Faîtes des articles intéressants et soumettez-les aux différents Digg-like français ( Wikio, Fuzz, Blogasty etc…). Si vous articles sont jugés pertinents, vous aurez des visites (plus ou moins qualifiées slon le digg like choisi)

C) Les liens / sites référents

Ce sont les sites ou blogs qui vous ont envoyé du trafic. Cette donnée n’est pas à négliger car c’est tout le côté social des blogs qui prend de l’ampleur. Qui a fait des liens vers vous ?

- les digg like ?

Les digg-like

- des blogs de références ? (ou vos commentaires sur des blogs de référence :-) )

- des autres blog ? (merci le link baiting !)

- des annuaires ?

En analysant les liens référents, vous pourrez facilement voir :

- sur quels Digg-like axer vos efforts.

- qu’il va falloir faire des commentaires plus pertinents su les blogs des autres ( pas de flood ! Non !) si vous voulez récupérer du trafic.

- que les annuaires n’apportent qu’un faible trafic (oui le (pseudo) web 1.0 apporte moins que le (pseudo) web 2.0)

Oui mais mon trafic c’est principalement Netvibes et iGoogle, ça veut dire quoi ?

Que votre flux RSS marche bien ;-)

Développez les Digg Like avec des articles pertinents. Je le répète mais pas de soumission pour soumettre ! Rappelez-vous : Web 2.0 = pouvoir aux internautes = si votre contenu est pourri : pas de votes pour vous donc pas de visibilité et même certaines fois des votes négatifs ! vote

IV) L’analyse de la rétention

Savoir d’où les gens viennent, c’est bien, mais savoir pourquoi ils partent, à quelle page et après avoir vu quoi c’est mieux. L’intérêt de mesurer ce qui peut retenir les visiteurs et améliorer les points qui les font fuir mais également de savoir si votre blog intéresse les internautes.

A) Le taux de rebond

Le taux de rebond correspond au pourcentage de visites d’une seule page (c’est-à-dire les visites au cours desquelles les internautes quittent le site dès la page d’entrée) C’est une donnée très simple à analyser : plus il est faible et mieux c’est ! Si par exemple vous avez un taux de rebond de 20 %, nous pouvons en déduire que votre blog incite les internautes à voir plusieurs pages et donc est jugé intéressant pour les internautes. Si vous êtes à 70% de taux de rebond, c’est dire que les internautes ne voient en général qu’une page, ce qui peut être le cas si vous inondez les digg likes ! ;-) Un moyen simple mais à double tranchant pour faire baisser ce taux : ne pas proposer les articles en entier. En effet, cela incitera les internautes à parcourir 2 pages pour lire un article. Double tranchant car vous risquez de perdre des lecteurs si vous le faîtes sur la page de l’article directement. En revanche en homepage, why not, beaucoup le font. Pour le Blog Web Marketing, nous avons choisi de mettre les articles entiers et le taux de rebond est assez élevé :-D mais ce qui nous intéresse c’est que les gens restent plus longtemps sur le site sans action obligatoire (exemple : un clic pour aller lire l’article)

Taux de rebond

B) Temps passé

Allez dans la catégorie Visiteurs et cliquez sur “Temps passé sur le site” :

Temps passé

Le temps que les visiteurs passent sur le site est donc une donnée intéressante à regarder car elle indique si les articles de votre blog sont pertinents. En effet, si la plupart des gens quittent le site en moins de 10 secondes, c’est que le contenu ne les intéresse pas ou que le trafic n’est pas assez qualifié (abus de digg-like ou référencement sur des termes ne correspondant pas au site)

C) Détail des pages par titres

Allez dans la partie contenu et cliquez sur “Détail des pages par titres” :

Detail des pages par titre

Cet indicateur présente les pages demandées le plus souvent par les visiteurs en prenant comme titre la balise Title de vos pages. Bon référencement oblige, vos pages ont toutes, bien sûr, un nom différent. ;-) Sinon regardez dans « Pages les plus consultées ». C’est l’occasion de comparer les pages qui marchent le mieux. En général, la page d’accueil est la page la plus visitée mais certains de vos articles doivent lui tenir tête ! Cela vous permettra de regarder le nombre de pages vues, visites et visiteurs (oui le trafic vous avez suivi ! ) sur vos articles. Analyser ici les articles qui ont le plus attiré de visiteurs. C’est peut être là que vous êtes le plus pertinent ?

D) Pages de sorties

La donnée Pages de sortie (accessible dans Contenu puis “Principales pages de sorties“) est utile pour voir quelles sont les pages qui font partir vos visiteurs. En général, il s’agit plutôt de la page d’accueil du blog car ça reste généralement la porte d’entrée principale. Si vous avez pas mal de trafic venant du référencement ou de sites référents, ces pages sont sûrement vos articles ayant le plus de pages vues. En effet, plus un article est vu et plus il a de chance d’être en page de sortie, surtout si vous utiliser pas mal les digg-likes qui apportent souvent un lectorat zappeur.

sortie

Si vous voyez qu’une page ne mérite pas d’avoir autant de sorties (une page importante pour vous), retravaillez là et incitez vos lecteurs à voir plus de pages. Par exemple, mettez des liens vers vos articles en rapport en bas de chaque article (tiens d’ailleurs il faut que je le fasse !)

E) Recherche sur site

Si vous l’avez activé, allez dans Contenu puis “Recherche sur site” :

Recherche sur site

Sinon, voici comment paramétrer la recherche de site sur Google Analytics.

Cette donnée est importante car on estime que les visiteurs recherchent sur les moteurs internes lorsque la navigation ne leur a pas donné satisfaction. Regardez les mots qui sont tapés, sur quelle page les internautes ont lancés la recherche et où la recherche les a amenés.

Ok maintenant, vous avez de quoi mesurer l’intérêt de vos internautes sur le site. A présent, définissez des objectifs et analysez la conversion de ces objectifs.

V) L’analyse de la conversion

La conversion c’est réussir un objectif qu’on s’est fixé. Le but est donc de fixer des objectifs pour votre blog et d’essayer de les atteindre. C’est par exemple une page de confirmation d’inscription.

Conversion

A) Entonnoir de conversion

Selon Google : « Le terme “entonnoir de conversion” désigne la série de pages qu’emprunte un visiteur avant d’atteindre l’objectif de conversion. Le nom vient d’un graphique représentant les visiteurs atteignant chaque page. La première page totalise le plus grand nombre de visiteurs, et leur nombre diminue ensuite de page en page, jusqu’à la dernière : l’objectif. »

Normalement ça ressemble à ça (d’où le nom d’entonnoir) :

Entonnoir de conversion

Pour Google ça ressemble à ça (cliquez pour agrandir) :

Entonnoir de conversion Google

Notre conseil : Construisez-en plusieurs comme par exemple :

- L’inscription à la newsletter

- l’abonnement au Flux RSS.

- La demande de contact (Contact > validation)

- La visite complète (accueil > page 2 > page 3 > page 4 du blog…)

Un bon entonnoir a au moins 3 étapes mais un blog étant moins « dépendant » de la conversion, 2 étapes suffiront. Voici la page où vous pouvez en savoir plus sur la création d’objectifs sur Google Analytics.

Une fois créés, vous pouvez les visualiser dans la partie “Objectifs” puis “Schéma de l’entonnoir de conversion” :

Objectifs Schéma Entonnoir de conversion

L’intérêt réside ici dans le fait de mesurer les fuites dans votre processus de conversion et d’identifier à quelle étape le maximum de visiteurs s’en va. Cette page a-t-elle un problème ? Pourquoi cette page et pas la précédente ? Posez-vous ces questions. Sinon vous pouvez toujours me la poser ;-) J’essaierais de vous répondre.

B) Abandon de la conversion

Pour l’abandon, l’intérêt est de voir si la tendance est constante et si certains facteurs (jours, heures …) sont plus favorables à l’abandons. Retrouvez cette donnée dans :

Objectifs Abandons conversion

VI) Conclusion

Tout d’abord, si vous arrivez jusqu’ici en ayant tout lu, félicitations ;-)

Sinon, n’hésitez pas à mettre en favoris le site ou à vous abonner au flux RSS pour pouvoir revenir à l’article facilement.


Si l’analyse d’audience est la pierre angulaire du Web Marketing (elle permet en effet de comparer toutes les sources de trafic et de juger de la pertinence des contenus du site), elle est également essentielle pour un blog qui veut savoir « sa valeur non marchande » et se comparer sur le marché. C’est aussi un bon moyen de juger ses articles et de voir ce qui a captivé vos lecteurs.

Pourquoi Google Analytics ? Parce qu’il est gratuit et accessible à tout un chacun. Parce que c’est un bon premier pas avant de se mesurer à HBX Analytics ou Omniture SiteCatalyst (bientôt un seul et même outil d’ailleurs ! )

Pour conclure ce mini guide, un conseil : prenez le temps chaque jour de regarder vos statistiques. Ce n’est pas très chronophage et ça permet de se remettre en question tous les jours. Bonus : si vous voulez vraiment apprécier Google Analytics, téléchargez la version AIR. (Voir capture d’écran ci dessous)

Google Analytics AIR

En effet, vous y penserez plus souvent si l’icône est sur votre bureau. De plus l’interface par onglet et le fait de ne pas avoir à s’identifier chaque fois sont très appréciables au quotidien.

A retenir : les 4 analyses à mener : le trafic, l’acquisition, la rétention, la conversion qu’on peut résumer en 4 questions : combien de visiteurs? d’où ils viennent ? qu’est ce qui les a intéressé ? pourquoi ils partent ?

Enfin 2 points connexes : ayez un bon référencement et des articles des qualités, ça aura un impact positif sur vos stats ;-)

J’espère vous avoir aidé si vous découvrez Google Analytics, donné envie d’y retourner si vous l’aviez délaissé et peut être vous avoir appris quelque chose si vous pensiez bien le connaître !

Bonnes analyses !